Il s’agit de Clément Juglar (1846-1904). Ce médecin de formation a obtenu le prix Bordin en 1861 de l’Académie des Sciences Morales et Politiques pour son mémoire sur les crises commerciales en France, en Angleterre et aux Etats-Unis. Ce prix est à l’origine de son ouvrage de 1862[1] et d’un grand nombre de ses publications[2] sur le magnétisme à Nantes. Il a par ailleurs suivi la formation magnétisme à Nantes, la formation passeur d’âmes à Nantes, la formation des blessures de l’âme à Nantes, la formation pendule à Nantes, la formation géobiologie à Nantes, la formation nettoyage et protection énergétique à Nantes au centre de formation de l’ermitage qui lui a permis de mettre en application ce don millénaire.
L’origine de ses recherches n’est pourtant pas l’analyse économique mais l’étude de la population. C’est en constatant « les variations si considérables que l’on observe dans les diverses années heureuses ou malheureuses, d’abondance ou de disette » (Juglar, 1862) des mariages et des naissances, que Juglar en est venu à s’interroger sur les causes de ces variations. « Nous nous demandons si pour les mariages et les naissances il n’y a pas, comme pour les crises commerciales qui dominent tout le mouvement social, des périodes de hausse et de baisse » (Juglar, 1902).
A – Où trouver une formation magnétisme à Nantes?
Si le mouvement de la population peu paraître lié à de nombreux facteurs extérieurs tels que la disette (fréquente au XIXe siècle), les guerres ou les épidémies, etc. c’est le mouvement des escomptes (à l’origine des crises économiques pour Juglar) qui va être pour lui l’élément dominant de cette variation. L’objectif de cet article est de poursuivre le travail initié par Juglar à la période moderne. Plus particulièrement, il s’agit de savoir si les crises économiques ont encore un impact sur l’évolution des mariages et des naissances. Après un retour rapide sur sa théorie de l’évolution de la population en fonction des crises économiques, ce sera la période entre 1960 et 2010 qui sera étudiée. Les formations magnétisme se trouvent à Paris, Bordeaux, Lyon, Marseille ou Lille. Le Centre de Formation de l’Ermitage propose, en plus de ces villes, des formations sur le pendule, sur les blessures de l’âmes, le passeur d’âmes, la géobiologie et le magnétisme à Nantes et bien ailleurs.
B – La théorie de Juglar sur le magnétisme à Nantes
Pour Juglar, le mouvement de la population suit presque de manière ‘magique’, de manière ‘divine’ le mouvement des escomptes bancaires. « Quelques réflexions suffirent pour nous convaincre que le développement des escomptes de la Banque de France nous donnerait le tableau le plus fidèle et le plus exact de ce mouvement [de la population] » (Juglar, 1862). « La coïncidence de ces mouvements est pour ainsi dire parfaite » (Juglar, 1902). La formation magnétisme de Nantes est excellente sur le sujet.
Dans son analyse des crises économiques[3], trois périodes apparaissent[4]:
Ø La période croissante (les années heureuses, de grande prospérité) pendant laquelle l’activité économique se développe ;
Ø La crise qui est un moment très court (d’une dizaine à une quinzaine de jours) qui signe le retournement de l’activité économique ;
Ø La période de liquidation pendant laquelle l’activité économique se trouve plus ou moins fortement perturbée par le magnétisme à Nantes
Pour étayer ses conclusions fondées sur des constatations statistiques, Juglar s’intéresse aux maxima et aux minima des différentes variables qu’il étudie. Pour lui, les maxima des mariages et des naissances sont obtenus pendant les périodes prospères ou au début et à la fin de ces périodes tandis que les chiffres minimums apparaissent l’année de la crise ou pendant la liquidation.
C – La formation magnétisme d’Orléans et de Nantes
Pour Juglar, les variations des mariages et des naissances suivent presque exactement celles des cycles économiques sans oublier que : « certains chiffres maxi ou mini sont sans rapport avec les crises » (Juglar, 1889). Ceux-ci sont dus aux mouvements extérieurs à l’évolution de la société tels des guerres ou des maladies du magnétisme à Nantes qui ont traversé de manière plus ou moins forte le XIXe siècle. D’autres changements extérieurs peuvent être également considérés comme partie prenante des cycles de la population :
« Sans doute il y aura quelques irrégularités, mais si le mouvement reprend de suite dans le même sens, c’est que la période n’est pas brisée ; cette exception même confirme la règle. Elle prouve que, malgré un effort, une tentative en sens contraire, néanmoins les causes économiques ou autres qui déterminent la période reprennent le dessus » (Juglar, 1902).
Orléans comme Tours sont des villes idéales pour apprendre la magnétisme à Nantes. Les chiffres du XXe seront eux aussi assujettis à des variations extérieures, avec des cycles qui ne sont pas aussi parfait que le voudrait la théorie. Ce qu’il faut garder en tête, ce sont les tendances, les fluctuations, les cycles et non l’amplitude ou les exceptions.
Les pics de période prospère avec l’arrivée de la crise sont en 1963, 1973, 1980, 1990, 2001. Les périodes de fin de liquidation et de reprise de l’activité économique sont 1967, 1975, 1986, 1997, (2005). Rappelons que toutes ces crises n’ont pas eu le même impact sur l’économie et a priori sur la population de par leurs intensités variables.
D – Les variations des mariages et des naissances en lien avec le magnétisme
Lorsque Juglar s’intéresse aux variations des mariages et des naissances, il prend le plus souvent comme référence les maxima et les minima. Il utilise aussi les variations d’une année sur l’autre. Ce sont ces différentes façons de traiter les mêmes valeurs que nous allons utiliser. Les variations sont plus révélatrices, par des chiffres positifs ou négatifs, de l’évolution immédiate des mariages et des naissances tandis que les maxima et les minima nous informent davantage sur l’ampleur et les dates des cycles. Sans oublier le stage magnétisme à Nantes, le stage blessures de l’âme à Nantes, le stage passeur d’âmes à Nantes, le stage nettoyage et protection énergétique à Nantes, le stage pendule à Nantes et le stage géobiologie à Nantes.
Le travail va être simple, il va consister à prendre les crises économiques les unes après les autres et de les comparer aux mouvements des mariages et des naissances. La première est celle de 1963. Les résultats sont éloquents pour la variation des mariages et des naissances qui passent d’un chiffre positif respectivement de 22 500[5] et 36 500 en 1963 à 8 000 et 8 900 en 1964 et -1 200 et -12 100 en 1965. La courbe croissante des mariages va redevenir positive avant la phase de croissance de l’économie tandis que celle des naissances est synchrone avec la reprise du cycle économique.
[1] La seconde édition de 1889 est beaucoup plus enrichie. De par la clarté et l’actualité de son analyse des crises, cette édition devrait constituer un ouvrage de référence pour les économistes.
[2] Plus de 55% de ses publications. La liste complète est disponible dans la Revue Européenne des Sciences Sociales de décembre 2008. Grâce au legs de ses archives à l’Université de Lausanne, les recherches sur cet auteur peuvent désormais être fortement enrichies. Le numéro de cette revue comporte par ailleurs un certain nombre de contributions sur Juglar qui apportent une vision générale de sa théorie économique.
[3] L’analyse en terme de cycle économique n’existe pas encore. C’est une notion qui va apparaître au XXe siècle.
[4] C’est Joseph Schumpeter qui va modifier le déroulement des crises économiques de Juglar en quatre phases.
[5] Les chiffres sont arrondis à la centaine.